Angélique, enchantée !

Je raconte vos histoires, découvrez la mienne

Je m’appelle Angélique, j’ai 25 ans et j’habite à Mulhouse. J’ai passé une grande partie de mon enfance chez mes grands-parents et, aussi loin que je puisse m’en souvenir, ces derniers avaient toujours un appareil photo à la main. Vous comprendrez que je suis assez rapidement « tombée dedans » !

Animée par une curiosité infinie et une irrésistible envie de comprendre le monde, j’ai eu mon premier appareil photo à l’âge de huit ans. La suite, vous la connaissez : j’ai décidé d’ouvrir mon entreprise le jour de mes 18 ans. Cet anniversaire si symbolique sonna ainsi le début d’une belle et grande aventure…

Cela fait maintenant sept ans que je mets ma passion pour l’image à votre service. Mon objectif ?  Vous montrer que chaque petit instant est assez précieux pour être vécu intensément et surtout, assez unique pour être sauvegardé. Passer un moment devant un appareil photo, c’est prendre le risque de découvrir un monde différent, plus beau. Mais avant tout, c’est prendre le risque d’adopter un regard plus bienveillant sur soi.

« S’il n’y a pas d’émotion, s’il n’y a pas un choc, si on ne réagit pas à la sensibilité, on ne doit pas prendre de photo. C’est la photo qui nous prend. »

« On ne renonce jamais aux chevaux. »

Ma seconde passion, ce sont les animaux. Amoureuse des chevaux et cavalière depuis toujours, j’ai débuté l’équitation dans un club de ma région. L’adolescence pointant le bout de son nez, j’ai tourné le dos à cette grande structure afin de découvrir une autre approche des chevaux, en meilleure adéquation avec mes valeurs.

La vie m’a conduite aux portes d’une écurie de spectacle, spécialisée dans le travail en liberté. J’ai eu la chance d’y rencontrer mon âme sœur équin : ma beauté noire, un grand Gipsy Cob de 13 ans à l’époque. Je suis son heureuse propriétaire depuis 4 ans maintenant.

Du plus loin que je me souvienne, les animaux ont toujours partagé ma vie. Après les chevaux, ce sont les chats qui ont bouleversé mon quotidien avec l’adoption de Valentin puis de Socrate, deux chats européens.